Articles associés au tag ‘information’

Propylène Glycol – Germicide d’air

Publié le 14 Juil 2010 — par Vapcig
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http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,932876,00.html

June Dr. Robertson began studying the effect of glycol vapor on monkeys imported from the University of Puerto Rico’s School of Tropical Medicine. So far, after many months’ exposure to the vapor, the monkeys are happy and fatter than ever. Dr. Robertson does not expect mankind to live, like his monkeys, continuously in an atmosphere of glycol vapor; but it should be most valuable in such crowded places as schools and theaters, where most respiratory diseases are picked up.

Read more: http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,932876-2,00.html#ixzz0tfG91PHU

Traduction avec Yahoo

Évaluation Préclinique – Propylène glycol

Publié le 14 Juil 2010 — par Vapcig
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http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=19960879

Preclinical Safety Evaluation of Inhaled Cyclosporine in Propylene Glycol

Cyclosporine inhalation solution has the potential to improve outcomes following lung transplantation by delivering high concentrations of an immunosuppressant directly to the allograft while minimizing systemic drug exposure and associated toxicity. The objective of these studies was to evaluate the potential toxicity of aerosolized cyclosporine formulated in propylene glycol when given by inhalation route to rats and dogs for 28 days. Sprague-Dawley rats received total inhaled doses of 0 (air), 0 (vehicle, propylene glycol), 7.4, 24.3, and 53.9 mg cyclosporine/kg/day. In a separate study, beagle dogs were exposed to 0, 4.4, 7.7, and 9.7 mg cyclosporine/kg/day. Endpoints used to evaluate potential toxicity of inhaled cyclosporine were clinical observations, body weight, food consumption, respiratory functions, toxicokinetics, and clinical/anatomic pathology. Daily administration of aerosolized cyclosporine did not result in observable accumulation of cyclosporine in blood or lung tissue. Toxicokinetic analysis from the rat study showed that the exposure of cyclosporine was approximately 18 times higher in the lung tissue compared to the blood. Systemic effects were consistent with those known for cyclosporine. There was no unexpected systemic toxicity or clinically limiting local respiratory toxicity associated with inhalation exposure to cyclosporine inhalation solution at exposures up to 2.7 times the maximum human exposure in either rats or dogs. There were no respiratory or systemic effects of high doses of propylene glycol relative to air controls. These preclinical studies demonstrate the safety of aerosolized cyclosporine in propylene glycol and support its continued clinical investigation in patients undergoing allogeneic lung transplantation.

 

A propos du Vaporisateur Electronique

 

Attention-Grabbing-Headlines

La Cigarette Électronique n’est pas officiellement reconnue comme étant un produit pour arrêter de fumer mais c’est une bonne alternative au tabagisme. Elle permet de conserver la gestuelle et certaines sensations. Le sevrage peut ainsi sembler être moins stressant donc plus facile. Il faut néanmoins être motivé pour arrêter le tabac et si besoin est, consulter un médecin ou tabacologue.

La Cigarette Électronique produit de la vapeur (parfumée) semblable à celle d »une machine produisant de la fausse fumée, qu’on utilise en discothèque ou en salle de spectacle. Vapoter avec une cigarette électronique ne fait pas jaunir les dents, ne procure pas de mauvaise odeur ni mauvaise haleine et c’est sans risque d’incendie.

L’utilisation d’une Cigarette Électronique doit être réservée aux Adultes uniquement (interdit aux mineurs). Elle est déconseillée au non-fumeur, à la femme enceinte ou allaitante, à la personne allergique au propylène de glycol et/ou à la glycérine, à la personne ayant déjà eu des problèmes cardio-vasculaire (concernant certains consommables utilisés pour la production de vapeur).

Aucun signalement d’effets nocifs à l’utilisation n’a encore été rapporté. La nocivité éventuelle de ce dispositif n’a pas été établie scientifiquement. Par contre, on connait les dangers encourus concernant la consommation de tabac.

 

La nicotine – effets – addiction

Publié le 23 Mai 2010 — par Vapcig
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« La nicotine a un effet anxiolytique et antidépresseur. Elle stimule ainsi les fonctions intellectuelles et agit comme un coupe-faim. » (Source : OMS, Institut de Veille sanitaire)

« La nicotine, seule, ne suffit pas à déclencher de dépendance au tabac.
La nicotine est généralement considérée comme le principal composant responsable des propriétés addictives du tabac. Et pourtant, une équipe de recherche du CNRS et du collège de France vient de prouver que la nicotine seule ne suffit pas à déclencher l’état de dépendance chez les fumeurs. » Jean Pol Tassin – Neurobiologie de l’addiction – directeur de recherches à l’Inserm (Physiopathologie des maladies du système nerveux central – UPMC/CNRS/Inserm) [Article complet : www2.cnrs.fr]

Sevrage tabagique : quelle efficacité pour les substituts nicotiniques ?
La nicotine est généralement considérée comme le principal composant responsable des propriétés addictives du tabac. Et pourtant, une équipe de recherche du CNRS et du collège de France dirigée par Jean Pol Tassin, directeur de recherche à l’Inserm vient de prouver que la nicotine seule ne suffit pas à déclencher l’état de dépendance chez les fumeurs. D’autres composés du tabac s’avèrent indispensables pour en révéler le pouvoir addictif. Cette découverte explique également pourquoi les substituts à la nicotine utilisés dans le sevrage tabagique sont inefficaces à long terme. Ce travail vient d’être publié dans l’édition avancée en ligne du Journal of Neuroscience. Sans être associée à certains composants du tabac, la nicotine n’est pas addictive. Ce principal résultat issu des recherches menées par Jean Pol Tassin est un nouveau pas en avant vers la compréhension des mécanismes de la dépendance aux drogues.

Dépendance : il n’y a pas que la nicotine
Des chercheurs français viennent de bouleverser l’approche des mécanismes d’addiction, ouvrant la voie à de nouvelles thérapies à la dépendance aux produits psychoactifs, et en particulier au tabac. Comparable à celle d’une drogue, la dépendance à la cigarette semblait avoir pour seule responsable la nicotine.
Les travaux menés par le neurobiologiste Jean-Pol Tassin, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dans le cadre du Collège de France, montrent aujourd’hui que les choses sont un peu plus complexes.
Constatant que les fumeurs présentaient une baisse significative de leur taux de monoaminoxydase (mao), le chercheur et son équipe ont mis en évidence que l’addiction au tabac se fondait sur la perturbation de trois neurotransmetteurs (ou neuromodulateurs) : la noradrénaline, la dopamine et la sérotonine, réagissant surtout à un inhibiteur de la monoaminoxydase (i-mao) contenu dans la cigarette et entrant ensuite en synergie avec la nicotine.

La nicotine inhalée n’est pas toxique !

Publié le 22 Mai 2010 — par Vapcig
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« Ce n’est pas la consommation de la nicotine qui est toxique dans la cigarette, mais l’inhalation d’environ 4000 substances toxiques dans la fumée du tabac telles que des substances cancérigènes ou responsables d’athérome. La nicotine est, en revanche, une drogue très puissante rendant dépendant très rapidement à la cigarette. Mais elle n’est pas un élément toxique de la cigarette ! Elle n’est ni cancérigène, ni mauvaise pour le coeur, ni pour les poumons.«  Dr. Marion Adler. Tabacologue.

Evaporation de propylene glycol : pas de danger

Publié le 22 Mai 2010 — par Vapcig
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« Le propylène glycol est utilisé dans les machines de spectacle (discothèque, théâtre, cinéma) et dans les cigarettes électroniques car son évaporation à basse température (+/-60 degrés) permet de produire une fausse fumée (aérosol) non toxique permettant de créer des effets spéciaux tels que des incendies ou des brumes artificielles sans danger pour les acteurs ou les spectateurs. »

http://sante-medecine.commentcamarche.net/forum/affich-174125-comprendre-les-danger-du-propylene-glycol#3

Les VP ou Vaporisateur Personnel sont soumises à l’AMM !

Publié le 03 Mai 2010 — par Vapcig
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Vu sur le site de l’Assemblée Nationale…

Extraits :

Question publiée au JO le : 29/09/2009 page : 9187

« …pour vanter les mérites de leurs produits, les fabricants affirment que leur produit n’est aucunement nocif pour la santé – tant pour les fumeurs que pour leur entourage – car l’absence de combustion ferait que l’on ne retrouverait pas dans la fumée les substances cancérigènes contenues dans la fumée de cigarette traditionnelle. Ce postulat commercial n’a, pour l’heure, jamais fait l’objet d’une étude scientifique sérieuse. Aussi, il souhaite connaître son avis quant à la nocivité ou non de ce produit et désire savoir si, compte tenu de la croissance de ce marché, elle entend mener une étude scientifique sur ce type de produits afin de connaître ses effets sur la santé et informer les utilisateurs de ces résultats. »

Réponse publiée au JO le : 23/03/2010 page : 3455

« En France, dès lors que le fabricant revendique une utilisation des cigarettes électroniques dans le sevrage tabagique, que la cartouche insérée contienne ou non de la nicotine, ces cigarettes électroniques sont soumises à l’autorisation de mise sur le marché (AMM). Il en est de même, sans allégation de sevrage tabagique, lorsque les cigarettes électroniques contiennent plus de 10 mg de nicotine. Or, à ce jour, aucun fabricant ou importateur ne dispose d’une AMM pour ce type de produits. Ils s’exposent donc aux sanctions prévues par la réglementation applicable aux médicaments… »

http://questions.assemblee-nationale.fr/q13/13-59622QE.htm

vaporisateurs électroniques et Risques pour la santé

Publié le 14 Avr 2010 — par Vapcig
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Extraits de http://www.e-cancer.fr/la-sante-publique/prevention/tabac/differents-modes-de-consommation-du-tabac/2107

Questions Réponses

Les cigarettes électroniques sont présentées comme des aides au sevrage tabagique. Elles suscitent depuis peu un intérêt grandissant en France pour des fumeurs espérant trouver une solution de substitution non toxique à la cigarette. L’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, saisie par la Direction Générale de la Santé, n’a pas octroyé l’Autorisation de mise sur le marché, estimant que ce type de produit ne répond pas à la définition du médicament1.

Quelle est la différence entre la nicotine présente dans les cigarettes électroniques et celle présente dans les gommes nicotiniques ?

Lors de la consommation d’une cigarette, la nicotine atteint le cerveau en 10 à 20 secondes et le pic plasmatique est atteint dès la fin de la cigarette. La nicotine présente dans les gommes atteint le cerveau après environ 30 minutes et se maintient pendant au moins 2 heures avant de décroître progressivement3 du fait d’une absorption plus lente.

Trouve-t-on des substances cancérogènes ?

Bien qu’à très faible dose, on retrouve dans une cartouche liquide moins de 1 ppm (partie par million) de métaux lourds (Arsenic, Antimoine, Nickel, etc.) qui sont des cancérogènes avérés de groupe 1 d’après le CIRC. On retrouve également 8ng de Nitrosamines dans une cartouche de 16 mg de nicotine, à l’identique de ce que l’on retrouve dans les gommes nicorettes®7.