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Mon parcours de fumeuse et vapoteuse

Publié le 23 Mai 2010 — par Vapcig
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Pour la petite histoire, j’ai commencé à fumer régulièrement, vers la fin des années 70 et ceci a duré 13 ans avec 1 à 2 paquets/jour, avant que je prenne la décision d’arrêter. 

Effectivement, j’avais déjà réussi à arrêter de fumer une première fois, dans les années 90, avec de la volonté et en consommant certaines “horreurs” qu’on trouvait à la pharmacie (à sucer ou machouiller et à fumer) J’étais fière d’avoir réussi à arrêter de fumer, grâce à beaucoup de volonté. Durant environ 8 années, je n’ai plus consommé de nicotine. Par contre, suite à cet arrêt de la “tueuse”, j’avais subit une prise de poids, avec tous les problèmes qu’engendre une surcharge pondérale (mal être avec “sous estime de soi”, déprime, peine à se mouvoir aisément, essoufflements, etc.).

Un jour, j’ai accepté une cigarette qu’on m’offrait en me disant qu’une seule ne pourrait pas me tuer mais mon “cerveau” s’est souvenu de ce plaisir qui lui avait tant manqué, durant toutes ces années. C’est pourquoi, dès que l’occasion se présentait, j’acceptais les cigarettes qu’on m’offrait. Puis, j’ai fini par m’acheter un paquet et j’ai “replongé” assez rapidement, une cigarette en appelant une autre. En consommant de nouveau des “tueuses”, j’ai eu la surprise de retrouver mon “poids de forme” au bout de quelques mois. Je suis repassé dans le “clan des fumeurs”, pour environ 8 ans.

En mai 2008, j’ai découvert l’existence de la cigarette électronique et j’ai voulu tester. Ceci m’a “bluffée” car je suis passé d’un paquet de “tueuses” par jour à 5-10/jour en peu de temps, sans trop d’effort . Finalement, j’ai décidé de me mettre au vapotage, pour en finir avec les “tueuses” mais pas uniquement. J’avais enfin l’opportunité de pouvoir conserver le plaisir que “fumer” procure, sans m’encrasser les poumons, sans bronchite à répétition, etc. J’avais enfin la possibilité de pourvoir arrêter le tabac tout en continuant à consommer de la nicotine qui a un effet coupe-faim, limitant les fringales donc une prise de poids. J’ai eu du mal à me faire à l’idée que je ne grossirais pas en vapotant uniquement. Aussi, j’ai continué à fumer en alternance avec le vapotage, ceci durant 9 mois.

Depuis fin janvier 2009, j’en ai fini avec le tabac, sans prise de poids importante. Il est incontestable que la nicotine a un effet “coupe-faim” et “anti-dépresseur”. En devenant vapoteuse, j’ai retrouvé du goût et de l’odorat donc le plaisir de manger, en plus d’un meilleur souffle, d’une meilleure endurance, d’un meilleur teint, d’une meilleur haleine, etc.

En France, il y a un risque qu’un jour la nicotine ne doit plus être présente dans le e-liquide et dans les cartouches/cartomiseurs. La nicotine ne serait tolérée qu’un dosage à moins de 10mg (entre le NO et le LOW) donc autrement dire quasiment rien. Je crains que que mon avenir de vapoteuse satisfaite ne soit bien compromis.

La nicotine – effets – addiction

Publié le 23 Mai 2010 — par Vapcig
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La nicotine a un effet anxiolytique et antidépresseur. Elle stimule ainsi les fonctions intellectuelles et agit comme un coupe-faim.(Source : OMS, Institut de Veille sanitaire)

La nicotine, seule, ne suffit pas à déclencher de dépendance au tabac.
La nicotine est généralement considérée comme le principal composant responsable des propriétés addictives du tabac. Et pourtant, une équipe de recherche du CNRS et du collège de France vient de prouver que la nicotine seule ne suffit pas à déclencher l’état de dépendance chez les fumeurs.” Jean Pol Tassin – Neurobiologie de l’addiction – directeur de recherches à l’Inserm (Physiopathologie des maladies du système nerveux central – UPMC/CNRS/Inserm) [Article complet : www2.cnrs.fr]

Sevrage tabagique : quelle efficacité pour les substituts nicotiniques ?
La nicotine est généralement considérée comme le principal composant responsable des propriétés addictives du tabac. Et pourtant, une équipe de recherche du CNRS et du collège de France dirigée par Jean Pol Tassin, directeur de recherche à l’Inserm vient de prouver que la nicotine seule ne suffit pas à déclencher l’état de dépendance chez les fumeurs. D’autres composés du tabac s’avèrent indispensables pour en révéler le pouvoir addictif. Cette découverte explique également pourquoi les substituts à la nicotine utilisés dans le sevrage tabagique sont inefficaces à long terme. Ce travail vient d’être publié dans l’édition avancée en ligne du Journal of Neuroscience. Sans être associée à certains composants du tabac, la nicotine n’est pas addictive. Ce principal résultat issu des recherches menées par Jean Pol Tassin est un nouveau pas en avant vers la compréhension des mécanismes de la dépendance aux drogues.

Dépendance : il n’y a pas que la nicotine
Des chercheurs français viennent de bouleverser l’approche des mécanismes d’addiction, ouvrant la voie à de nouvelles thérapies à la dépendance aux produits psychoactifs, et en particulier au tabac. Comparable à celle d’une drogue, la dépendance à la cigarette semblait avoir pour seule responsable la nicotine.
Les travaux menés par le neurobiologiste Jean-Pol Tassin, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) dans le cadre du Collège de France, montrent aujourd’hui que les choses sont un peu plus complexes.
Constatant que les fumeurs présentaient une baisse significative de leur taux de monoaminoxydase (mao), le chercheur et son équipe ont mis en évidence que l’addiction au tabac se fondait sur la perturbation de trois neurotransmetteurs (ou neuromodulateurs) : la noradrénaline, la dopamine et la sérotonine, réagissant surtout à un inhibiteur de la monoaminoxydase (i-mao) contenu dans la cigarette et entrant ensuite en synergie avec la nicotine.

La nicotine inhalée n’est pas toxique !

Publié le 22 Mai 2010 — par Vapcig
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“Ce n’est pas la consommation de la nicotine qui est toxique dans la cigarette, mais l’inhalation d’environ 4000 substances toxiques dans la fumée du tabac telles que des substances cancérigènes ou responsables d’athérome. La nicotine est, en revanche, une drogue très puissante rendant dépendant très rapidement à la cigarette. Mais elle n’est pas un élément toxique de la cigarette ! Elle n’est ni cancérigène, ni mauvaise pour le coeur, ni pour les poumons. Dr. Marion Adler. Tabacologue.

Les différents dosages

Publié le 20 Juil 2009 — par Vapcig
Catégories 2°) - 1er pas : Recommandations, Quel dosage choisir

x-High dosé à 24 mg/ml ou 24 mg/g  correspond environ à un dosage de 1,2 mg sur un paquet de tueuses.
x-High dosé à 20 mg/ml correspond environ à un dosage de 1,0 mg sur un paquet de tueuses.

High dosé à 18 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,9 mg sur un paquet de tueuses.
High dosé à 16 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,8 mg sur un paquet de tueuses.

Medium dosé à 12 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,6 mg sur un paquet de tueuses.
Medium dosé à 11 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,5 mg sur un paquet de tueuses.

Low dosé à 8 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,4 mg sur un paquet de tueuses.
Low dosé à 6 mg/ml correspond environ à un dosage de 0,3 mg sur un paquet de tueuses.

No = 0 mg.

 

Lors de l’inspiration, l’action de la nicotine est moins rapide avec la vapeur, qu’avec la fumée de cigarette traditionnelle.
L’ensemble des substances chimiques qui entre dans la composition la fumée, provoquée par la combustion du tabac, augmente l’action de la nicotine. En bref, le cerveau reçoit plus vite sa “récompense” (dopamine), avec une cigarette tueuse.
Par conséquent, on a tendance à vapoter davantage, vis-à-vis de ce que l’on fumait car la nicotine met plus de temps à se diffuser donc à susciter la production de dopamine.